Le contre-torpilleur
Ce navire de plus de 50 m de long appartient à la série des Durandal, première véritable classe de contre-torpilleurs pour l’armée française. Un vrai morceau d’histoire à vivre sous la mer.
La plongée
C’est après avoir heurté un rocher que ce contre-torpilleur coula, sur sa quille. Avec le temps, le tiers avant s’est détaché pour se coucher sur le fond marin. Certaines tôles du bordage ont su néanmoins très bien se conserver.
Plus à l’arrière, les structures à nu forment une succession d’arcs de cercle, tels le squelette d’une immense créature marine. Décharnée, l’épave est par conséquent très accessible. Il est possible de pénétrer dans les compartiments. Obus, machines, chargements, logement des équipages, cuisines, canons, hélices, tout y est bien conservé, comme suspendu dans le temps.
Vestiges de nombreuses tentatives de remise à flots, on peut observer les colossales chaînes ayant servi à l’extirper, en vain. Le fond de la méditerranée est inéluctablement la dernière demeure de l’Espingole.
Plus à l’arrière, les structures à nu forment une succession d’arcs de cercle, tels le squelette d’une immense créature marine. Décharnée, l’épave est par conséquent très accessible. Il est possible de pénétrer dans les compartiments. Obus, machines, chargements, logement des équipages, cuisines, canons, hélices, tout y est bien conservé, comme suspendu dans le temps.
Vestiges de nombreuses tentatives de remise à flots, on peut observer les colossales chaînes ayant servi à l’extirper, en vain. Le fond de la méditerranée est inéluctablement la dernière demeure de l’Espingole.
La profondeur | 38 m |
L’accessibilité | Niveau 2 |
Les conditions de plongée | Les conditions sont très bonnes, un faible courant peut être ressenti même si cela reste rare. |
Sun plongée - île de Port-Cros
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